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Mois : septembre 2019

Japon : Tokyo en alerte…

Japon : Tokyo en alerte maximale avant le passage du typhon Faxai

International
METEO – Les autorités japonaises ont mis en garde les habitants de la capitale avant le passage du cyclone tropical Faxai, prévu dimanche en fin de journée. Le typhon est accompagné de rafales de vent pouvant atteindre 216 km/h. Les transports aériens et ferroviaires ont été annulés, les autorités conseillent à plus de 100.000 personnes d’évacuer.
 

Alerte cyclonique sur la capitale du Japon. Les autorités ont mis en garde les habitants de Tokyo avant le passage du violent typhon baptisé Faxai, qui doit atteindre les zones côtières entre dimanche en fin de journée, et lundi matin. 

Accompagné de rafales de vents pouvant atteindre 216 km/h, le violent cyclone tropical pourrait s’accompagner de précipitations et susciter de fortes vagues, des glissements de terrain, des inondations et des crues de rivières, selon l’Agence météorologique japonaise. Selon la même source, les vents et les pluies pourraient atteindre des niveaux « historiques ».  

En tout, ce sont près de 2.4 millions de personnes qui pourraient évacuer, sur conseil des autorités. Ces dernières ont conseillé à 40.000 familles, soit près de 100.000 personnes d’évacuer notamment les zones de Kanagawa, Shizuoka et la banlieue de Tokyo. Cet avis d’évacuation comporte une alerte de niveau quatre sur une échelle de cinq. 

Monthelon en fête

Monthelon Anniversaire from angeles serge on Vimeo.

DOMAINE. Acheté en 1989 (en haut) par Ueli Hirzel, le château sera vendu à l’association qui le gère, 30 ans et un jour après son achat. Une exposition rétrospective est à découvrir à partir de 21 heures demain et samedi.
Myriam Déborbe

Acheté sur un coup de tête, le château de Monthelon est devenu un lieu privilégié de résidences d’artistes. Ce week-end, il fêtera ses 30 ans.

En 1989, Ueli Hirzel, alors directeur d’Aladin, une troupe de cirque peu conventionnelle, sort d’une longue période de représentations du spectacle Les contes de la folie extraordinaire , notamment joué à la Cartoucherie de Vincennes. « On ne savait pas comment cela allait continuer. On avait besoin d’un endroit pour poser le matériel et réfléchir à l’avenir », se souvient le circassien. Après avoir cherché un peu partout, il pense à l’Avallonnais qu’il a déjà parcouru à vélo. « On avait une relation un peu affective avec cet endroit, on passait souvent sur la N6. »

Acheté pour l’équivalent de 200.000 euros

Une agence immobilière lui propose presque immédiatement de visiter une ancienne colonie de vacances, perchée sur la butte de Monthelon, sur les hauteurs de Montréal. « On est allé voir. Il pleuvait, c’était dégueulasse… Avec mon épouse, on était sûrs de ne jamais revenir. » Pourtant ils reviennent. Et peu après, le 8 septembre 1989, achètent le bâtiment pour 1,2 million de francs (environ 200.000 euros aujourd’hui). À l’époque, il n’y a guère plus que les quatre murs, les toilettes, l’eau et l’électricité… Six hectares de terrain également. « J’ai été séduit par l’ouverture, le ciel, l’espace avec les possibilités du terrain, la vue sur la collégiale », confie Ueli Hirzel.

Mais en arrivant, juste après avoir ouvert la porte, il jette la clé. « C’était une connerie, mais je ne pouvais plus revenir en arrière. » La clé, paraît-il, est toujours quelque part au milieu du terrain entourant la bâtisse. L’idée de ce lieu, elle, a mis un peu plus de temps à mûrir. « Au début, ce n’était pas une résidence d’artistes. Mais on a invité des gens du milieu artistique comme Jean-Paul Lefeuvre, de la première promotion du Centre national des arts du cirque de Châlons- en-Champagne. »

La première grande création de ceux qui travaillent ici sort en 1991 et s’appelle Cirque O . Elle partira en tournée pendant trois ans, pour quelque 250 représentations entre Copenhague, le Chili, l’Europe et bien sûr la France. « Dès qu’on a arrêté, on avait une espèce de vide », se souvient Ueli Hirzel. Que-Cirque-Que est donc lancée, pour cinq ans, sur les routes du monde entier : Australie, Canada, Suède, Portugal… De 1995 à 2000, la troupe donne quelque 600 représentations. « Ils ont créé un mouvement du nouveau cirque en Amérique latine », assure Laurence Lefeuvre, aujourd’hui membre du bureau de l’association de Monthelon.

Après ces cinq années de voyages, se pose la question du devenir du château de Monthelon. « Pour les dix ans, on a fait une grosse fête, avec beaucoup de monde, et là c’est devenu clair », se souvient Ueli Hirzel. Le château allait devenir un lieu de création, accueillant des artistes pour une semaine ou davantage.

Environ 50 compagnies accueillies chaque année

« On a pu financer le château grâce à des gros succès. Mais le deal, c’était de vendre si on n’arrivait plus à financer », poursuit Ueli Hirzel. Le plus gros des frais passe en travaux et en entretien. En 2006, le château est mis en vente. « Le ministère de la culture, la DRAC et la Région ont décidé de nous soutenir. » Se pose alors la question de la forme que doit prendre la structure. Et la meilleure réponse est celle de l’association. Les statuts sont déposés fin 2008. « On a été très attentifs aux statuts, pour bien exprimer les souhaits et les centres d’intérêt de Monthelon. »

Ce souhait, c’est celui d’un lieu où les artistes puissent prendre le temps de créer leurs œuvres, sans avoir à se soucier d’obligations de rendu ni de finances. Car « on ne paie pas pour travailler », plaisante Ueli Hirzel. Aujourd’hui, c’est l’association qui gère le château et les résidences d’artistes. Quelque 50 compagnies y passent chaque année. Monthelon se porte bien, à tel point que l’association rachètera le château qui l’a vue naître ce lundi 9 septembre. Trente ans et un jour après son acquisition. 

Fukushima: l’eau radioactive s’accumule

Fukushima : comment se débarrasser de l’eau radioactive qui s’accumule ?

Depuis 2011, plus d’un million de mètres cubes d’eau radioactive s’accumulent sur le site de Fukushima. Or, d’ici 2022, la centrale nucléaire aura atteint sa capacité maximale de stockage.

Par Publié le 05 septembre 2019 à 16h30 – Mis à jour le 05 septembre 2019 à 17h52

Le 11 mars 2011, un séisme de magnitude 9 et un puissant tsunami dévastaient la centrale nucléaire de Fukushima Daiichi. Quelques jours plus tard, de premiers rejets radioactifs étaient détectés et plus de 100 000 personnes évacuées. Depuis, la situation reste précaire. Pour éviter de nouvelles fuites radioactives, les réacteurs doivent être refroidis en permanence. Depuis la catastrophe, ils sont donc arrosés tous les jours : un million de mètres cubes d’eau y ont été déversés en 2019, soit l’équivalent de 400 piscines olympiques.
Le problème, c’est qu’en arrosant les réacteurs cette eau récupère des particules radioactives et devient, à son tour, radioactive. Or les réservoirs installés pour contenir toute cette eau contaminée commencent à manquer : selon Tepco, qui exploite la centrale, le site aura atteint sa capacité maximale de stockage en 2022. Alors, que faire de toute cette eau radioactive ? Explications avec des experts internationaux du sujet.
Sources :
Le site et les articles du chercheur Ken Buesseler : https://bit.ly/2lBSS19
Le rapport des experts sur les options envisagées de 2016 : https://bit.ly/2lupt9f
Notre reportage il y a un an sur le chantier de démantellement de la centrale : https://bit.ly/2jZoHk8

Asia Balluffier

 

 

Le mal aimé

Drôle de coïncidence

Y a t’il une coïncidence entre ces deux événements? 

La réponse se trouve en chacun de nous.

Pour celui qui adhère au « politiquement incorrect », la réponse serait, semble-t-il , sans ambiguïté.

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