Le rendez-vous incontournable de l’été dans l’Yonne !
Pendant plus d’une heure et demie et sur un rythme époustouflant, 1000 ans d’histoire défilent sous vos yeux.
600 acteurs et 50 cavaliers d’un petit village perdu au cœur dela France qui, pour faire revivre ce grand Château abandonné, avaient décidé de raconter son histoire …
Evénement saisonnier devenu véritable phénomène, le spectacle de Saint-Fargeau attire chaque année, des dizaines de milliers de personnes autour de son Château majestueux qui s’illumine et témoigne de la passion et de la folie des hommes.
Le spectacle historique du Château de Saint-Fargeau a innové dans sa scénographie en y intégrant des projections monumentalesen 3D. Ces images projetées sur les façades de l’ancienne forteresserecréent des atmosphères ou redonnent au « géant de briques rosess» son allure médiévale, renaissance, XVIIème siècle ou romantique.
Les effets 3D ont été créés par la Société « Spectaculaires », spécialisée dans la projection monumentale.
1000 ANS SOUS NOS YEUX
A travers 10 scènes épiques, ce son et lumière vous fait voyager au cœur de l’Histoire de France. Grâce à des effets spéciaux spectaculaires, nous voyons le château se construire, se transformer, être incendié, puis revivre et resplendir.
Histoire du Château
L’histoire du Château de Saint-Fargeau s’étend sur 10 siècles. En 980, Héribert Evêque d’Auxerre et demi-frère d’Hugues Capet élève un rendez-vous de chasse fortifié. Du Xe au XVe siècle, le château a pour propriétaires des familles illustres : les seigneurs de Toucy, de Bar, et le célèbre argentier de Charles VII, Jacques Cœur. A partir de 1453, Antoine de Chabannes fait construire sur les bases de l’ancienne forteresse le château actuel, avec sa forme pentagonale, flanqué de six grosses tours. En 1652, Anne-Marie Louise d’Orléans, la Grande Mademoiselle cousine germaine de Louis XIV, condamnée à cinq ans d’exil à la suite des événements de la Fronde s’installe à Saint-Fargeau. Elle fait intervenir l’architecte Le Vau sur les façades intérieures du château. Il laisse un des plus beaux exemples de classicisme français. La famille Lepeletier acquiert le château en 1713. Louis Michel Lepeletier, conventionnel célèbre, vota la mort de Louis XVI et mourut assassiné.(*)
La population de L’Isle-sur-Serein ne manquera pas de saluer les efforts de la municipalité, pour la plus grande discrétion qui a été faite au sujet de l’inauguration de l’un de ses bâtiments public.
Ce n’est que grâce à la presse locale (YR) que les villageois en auront été informés comme on peut le voir dans un article paru ce matin
Acheté sur un coup de tête, le château de Monthelon est devenu un lieu privilégié de résidences d’artistes. Ce week-end, il fêtera ses 30 ans.
En 1989, Ueli Hirzel, alors directeur d’Aladin, une troupe de cirque peu conventionnelle, sort d’une longue période de représentations du spectacle Les contes de la folie extraordinaire , notamment joué à la Cartoucherie de Vincennes. « On ne savait pas comment cela allait continuer. On avait besoin d’un endroit pour poser le matériel et réfléchir à l’avenir », se souvient le circassien. Après avoir cherché un peu partout, il pense à l’Avallonnais qu’il a déjà parcouru à vélo. « On avait une relation un peu affective avec cet endroit, on passait souvent sur la N6. »
Acheté pour l’équivalent de 200.000 euros
Une agence immobilière lui propose presque immédiatement de visiter une ancienne colonie de vacances, perchée sur la butte de Monthelon, sur les hauteurs de Montréal. « On est allé voir. Il pleuvait, c’était dégueulasse… Avec mon épouse, on était sûrs de ne jamais revenir. » Pourtant ils reviennent. Et peu après, le 8 septembre 1989, achètent le bâtiment pour 1,2 million de francs (environ 200.000 euros aujourd’hui). À l’époque, il n’y a guère plus que les quatre murs, les toilettes, l’eau et l’électricité… Six hectares de terrain également. « J’ai été séduit par l’ouverture, le ciel, l’espace avec les possibilités du terrain, la vue sur la collégiale », confie Ueli Hirzel.
Mais en arrivant, juste après avoir ouvert la porte, il jette la clé. « C’était une connerie, mais je ne pouvais plus revenir en arrière. » La clé, paraît-il, est toujours quelque part au milieu du terrain entourant la bâtisse. L’idée de ce lieu, elle, a mis un peu plus de temps à mûrir. « Au début, ce n’était pas une résidence d’artistes. Mais on a invité des gens du milieu artistique comme Jean-Paul Lefeuvre, de la première promotion du Centre national des arts du cirque de Châlons- en-Champagne. »
La première grande création de ceux qui travaillent ici sort en 1991 et s’appelle Cirque O . Elle partira en tournée pendant trois ans, pour quelque 250 représentations entre Copenhague, le Chili, l’Europe et bien sûr la France. « Dès qu’on a arrêté, on avait une espèce de vide », se souvient Ueli Hirzel. Que-Cirque-Que est donc lancée, pour cinq ans, sur les routes du monde entier : Australie, Canada, Suède, Portugal… De 1995 à 2000, la troupe donne quelque 600 représentations. « Ils ont créé un mouvement du nouveau cirque en Amérique latine », assure Laurence Lefeuvre, aujourd’hui membre du bureau de l’association de Monthelon.
Après ces cinq années de voyages, se pose la question du devenir du château de Monthelon. « Pour les dix ans, on a fait une grosse fête, avec beaucoup de monde, et là c’est devenu clair », se souvient Ueli Hirzel. Le château allait devenir un lieu de création, accueillant des artistes pour une semaine ou davantage.
Environ 50 compagnies accueillies chaque année
« On a pu financer le château grâce à des gros succès. Mais le deal, c’était de vendre si on n’arrivait plus à financer », poursuit Ueli Hirzel. Le plus gros des frais passe en travaux et en entretien. En 2006, le château est mis en vente. « Le ministère de la culture, la DRAC et la Région ont décidé de nous soutenir. » Se pose alors la question de la forme que doit prendre la structure. Et la meilleure réponse est celle de l’association. Les statuts sont déposés fin 2008. « On a été très attentifs aux statuts, pour bien exprimer les souhaits et les centres d’intérêt de Monthelon. »
Ce souhait, c’est celui d’un lieu où les artistes puissent prendre le temps de créer leurs œuvres, sans avoir à se soucier d’obligations de rendu ni de finances. Car « on ne paie pas pour travailler », plaisante Ueli Hirzel. Aujourd’hui, c’est l’association qui gère le château et les résidences d’artistes. Quelque 50 compagnies y passent chaque année. Monthelon se porte bien, à tel point que l’association rachètera le château qui l’a vue naître ce lundi 9 septembre. Trente ans et un jour après son acquisition.
Beaucoup de nouveautés pour cette 21 ème édition de « L’Islexpo », avec notamment, une équipe de décorateurs et fresquistes qui ont répondu à l’invitation du président du Comité d’Animation, organisateur de l’événement.
Des nouveaux artistes régionaux ont également accepté l’invitation, sans oublier quelques fidèles exposants des premiers jours.
Une belle participation du public également, en hausse de 20% par rapport à l’année précédente. De quoi réjouir et encourager les organisateurs.
Une fois de plus les résidents du château de Monthelon ont émerveillé le public lors des « Rencontres de Monthelon » pour cette nouvelle édition 2019 intitulée
Après une semaine de travail intensif conduite par Mélanie Jackson, professeur de technique vocale, accompagnée par son chef de chant, Vincent Leterme, les élèves de la « Masterclass 2019 » de chant Lyrique, se sont produits dans un concert de fin de stage, à L’église « Saint Martin de L’Isle sur Serein.
Les spectateurs, venus nombreux ont pu apprécier le talent remarquable des élèves, dans diverses interprétations extraites de différents registres de célèbres compositeurs de chants lyriques
Un hommage en grande pompe, dédié à Chaïm SOUTINE, avec la présence de Igor FISSENKO, ambassadeur de Biélorussie, en présence d’une délégation de jeunes étudiants en peinture, venant de Biélorussie, accompagnés de leur professeur.
Cérémonie clôturée par la pose d’une plaque sur la maison où le célèbre peintre et sa compagne on séjourné pendant quelques temps dans le village de Civry-sur-Serein, commune de Massangis dans l’Yonne entre 1939 et 1940.
Bastille : un nouveau sens de circulation pour la place
Dans le cadre du réaménagement de la place de la Bastille qui s’achèvera à l’automne 2019, le plan de circulation de la place change définitivement à partir du 18 juin.
A partir du 18 juin, le plan de circulation de la place de la Bastille évolue. Ce changement s’inscrit dans le cadre du réaménagement en cours de la place.
Quel est va être le nouveau sens de circulation?
Que faire pour circuler pendant la mise en place du nouveau tracé ?
Nos conseils aux automobilistes : évitez le secteur de la Bastille le 17 juin à partir de 21 heures jusqu’au 18 juin dans la matinée. Adaptez votre itinéraire en amont afin d’éviter le secteur de la Bastille le temps de cette mise en place. Des plots en béton seront posés afin de délimiter les contours de la future presqu’île piétonne qui s’étendra de la colonne de Juillet au port de l’Arsenal.
Les sens de circulation des rues débouchant sur la place seront progressivement modifiés au cours de la nuit.
Quelles conséquences pour les boulevards Beaumarchais et Richard Lenoir ?
Attention : les automobilistes arrivant sur la place de la Bastille depuis le boulevard Beaumarchais ou le boulevard Richard Lenoir ne pourront plus aller directement dans l’est parisien depuis la place. Il faudra adapter votre itinéraire en amont. Seuls les bus pourront se rendre directement dans l’est depuis la Bastille.
Voici les itinéraires possibles à partir du 18 juin pour les automobilistes arrivant sur la place depuis les boulevards Beaumarchais et Richard Lenoir.
La rue de Lyon est mise à sens unique
Le sens de circulation de la rue de Lyon est modifié : les automobilistes ne pourront plus l’emprunter pour sortir de la place de la Bastille en direction de la gare de Lyon.
Quels sont les nouveaux itinéraires conseillés?
Pour se rendre à la gare de Lyon, à Nation ou à l’hôpital Saint-Antoine :
depuis la place de la République : privilégiez le boulevard Voltaire en amont (pour Nation ou l’hôpital Saint-Antoine) puis le boulevard Ledru-Rollin (pour la gare de Lyon);
depuis les boulevards Beaumarchais et Richard Lenoir : empruntez la voie Mazas par le boulevard Bourdon, puis le tunnel Van Gogh (pour la gare de Lyon). et le boulevard Diderot (pour Nation ou l’hôpital Saint-Antoine).
Pour se rendre à l’hôpital des Quinze-Vingts :
Depuis les boulevards Beaumarchais et Richard Lenoir : empruntez l’avenue Ledru-Rollin par le boulevard Voltaire puis la rue de Lyon afin de rejoindre la rue de Charenton.
C’est sous un air de Garden Party que s’est déroulée ce lundi 17 juin 2019 l’inauguration d’un circuit découverte à vocation touristique et pédagogique organisé par EdF, avec pour objectif, la découverte des nouvelles productions d’énergies nouvelles et les métiers de demain dans ce domaine.
Une nouvelle approche ludique et instructive pour présenter les énergies de demain au travers des moyens naturels à dispositions
Sans prétention d’asservir la nature, cette dernière se voit partenaire et protégée au travers d’une demande grandissante de consommation énergétique liée à une population en constante augmentation et à l’impact du réchauffement climatique